mercredi 7 décembre 2011

DÉFINITIONS







DÉFINITIONS

La communication synchrone : On parle d'équipements de communication synchrones lorsqu’ils agissent à un instant bien précis. Cet instant précis est connu des deux équipements par exemple parce qu’ils reçoivent un même signal électrique. Celui qui émet sait quand il doit émettre et celui qui reçoit sait quand il va recevoir. 

La communication asynchrone : c'est quand les équipements n'ont pas cette référence de temps commune décrite plus haut dans la communication synchrone. Ceci introduit une difficulté pour le récepteur qui ne sait pas quand il vat recevoir quelque chose.
Il faut remarquer que le synchronisme et l'asynchronisme se conçoivent à plusieurs niveaux. On peut être synchrone au niveau des bits et asynchrone au niveau des trames de protocoles. En télévision par exemple, on parle souvent de synchronise des bits par rapport à un signal électrique et de synchronise des trames par rapport aux images. 

Un TBI (tableau blanc interactif, ou encore tableau numérique interactif, en anglais Interactive White Board, IWB, ou encore smartboard) est un tableau blanc spécial qui interprète et modifie en direct une image numérique projetée par le biais d'un vidéoprojecteur relié à un ordinateur. En touchant l'image sur le tableau avec un stylet ad hoc (ou même avec un doigt), les utilisateurs interagissent avec l'ordinateur comme s'ils pointaient avec une souris). L'usage du TBI (tableau blanc interactif) commence à s'intensifier à tous les niveaux du système scolaire français (14 000 TBI seraient, en 2008, dans les différents niveaux des écoles ou établissements français, pendant que le gouvernement de Grande-Bretagne attribuait, entre 2003 et 2005, la somme de 25 millions de livres pour l'achat de TBI). Pour autant, il semble n'y avoir que peu d'études vraiment fiables sur l'intérêt pédagogique de ce nouveau matériel (Koenrad, 2007, mais voir toutefois Macedo-Rouet, 2010a, pour des résultats plus encourageants).

Une plate-forme est en informatique une base de travail à partir de laquelle on peut écrire, lire, utiliser, développer un ensemble de logiciels.
Elle peut être composée :
Exemples :
  • Lorsqu’on parle de plate-forme Linux ou Windows, il peut s’agir du système d’exploitation uniquement ou bien de l’ensemble formé du système d’exploitation et du matériel informatique sous-jacent.
  • Lorsqu’on parle de plate-forme web, il peut s’agir du logiciel serveur web, de ce même logiciel avec son système d’exploitation sous-jacent, du logiciel serveur web avec son système d’exploitation et son matériel, d’un ensemble de machines avec serveur web, ou encore d’un même ensemble en tenant compte des infrastructures réseau et connectivité à Internet.
  • Lorsqu’on parle de plate-forme logicielle, il s’agit souvent, comme le précise la définition, d’une base de travail appliquée à un contexte particulier, par exemple l’analyse d’images, le calcul intensif, la génomique, la protéomique.
Les plates-formes informatiques sont généralement conçues, développées, construites, mises en service et maintenues par des constructeurs informatiques. Dans le cas des plates-formes logicielles, elles sont plutôt maintenues par les organismes (par exemple l’INRIA, le CNRS, le CEA, l’INRA) qui hébergent la base de travail et les logiciels associés.

Un serveur Web peut être :
La plupart des ordinateurs utilisés comme serveur Web sont reliés à Internet et hébergent des sites web du World Wide Web. Les autres serveurs se trouvent sur des intranets et hébergent des documents internes d'une entreprise, d'une administration, etc.

Les NTIC : ce sont les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Aujourd’hui elles représentent une véritable révolution socioculturelle ; tant elles se sont démocratisées. Ces technologies ne sont véritablement plus nouvelles ; d’où le nom de TIC (technologies de l’information et de la communication). Elles traitent, modifient et permettent d’échanger l’information, surtout les données numérisées. Elles transforment ainsi notre rapport au  temps et particulièrement à la distance. Elles trouvent un terrain fertile dans le secteur de la formation et de l’éducation.  Elles se sont même spécialisées au point qu’on parle de : TE (technologies de l’éducation) et de TNE (technologies nouvelles de l’éducation).

LAN (réseau local) en anglais Local Area Network : Réseau situé dans une zone réduite ou dans un environnement commun, tels qu'un immeuble ou un bloc d'immeubles. Un réseau local devient une partie d'un réseau étendu lorsqu'une liaison est établie (via des modems, routeurs distants, lignes téléphoniques, satellites ou une connexion hertzienne) avec un gros système, un réseau de données public (Internet par exemple) ou un autre réseau local.

WAN (en anglais Wide Area Network) : contrairement au LAN, il s’agit d’un type de réseau qui peut s'étendre dans le monde entier

MAN (en anglais Metropolitan Area Network) : Réseau qui s'étend sur une zone géographique de la taille d'une ville, par opposition au LAN destiné aux installations de petite taille, et au WAN couvrant des réseaux étendus.

Hypermédia : Procédé semblable à l’hypertexte, mais les objets manipulés peuvent être aussi bien du texte que des images, fixes ou animées, et des sons.

Tuteur : Le tuteur est un enseignant ou un professionnel qui a pour mission d'accueillir, d'aider, d'informer, de guider les jeunes pendant leur apprentissage ainsi que de veiller au respect de leur emploi du temps. Le tutorat est donc de ce fait une relation entre deux personnes dans une situation formative : un professionnel et une personne en situation d’apprentissage. Cela est fréquent dans le e-learning.